Cette plante que nous utilisons pour agrémenter nos plats à plusieurs propriétés très intéressantes.
Il faut tout de même prendre certaines précautions lorsque l’on prend certaines médications. Il est toujours important de vérifier avec des professionnels de la santé pour valider les interactions possibles. Avec l’ail, mais aussi avec les autres plantes et suppléments.
Système immunitaire
L’ail a de belles propriétés antimicrobienne, surtout antibactérienne à large spectre. Il empêche le développement des bactéries pathogènes. Il pourrait aider à détruire des cellules cancéreuses à petites échelles, ce qui pourrait aider à réduire les risques de certains cancers : sein, poumon, estomac, côlon.
Certains composés actifs, dont l’allicine, permettent d’inhiber la croissance de plusieurs pathogènes comme : S. aureus, S. thyphimurium, C. botulinum et C. albicans.
L’ail peut aider aussi lors de sinusite, rhume, grippe, amygdalite, bronchite, otites (huile d’ail). Il aide pour diminuer le pied d’athlète et la teigne ou même le parasite de la gale et l’impétigo.
Système cardiovasculaire
Ici, l’ail peut améliorer la circulation sanguine. Il permet la dilatation des petits vaisseaux sanguins qui aidera la circulation sanguine dans les extrémités (mains et pieds).
Il aide à réduire le taux de « mauvais cholestérol » (LDL) et de triglycérides et à augmenter le « bon cholestérol » (HDL). Ce qui réduit les risques de formation de caillots et d’athérosclérose. En plus, l’ail augmente la fibrinolyse, il aide à dissoudre la fibrine qui forme des caillots dans le sang.
Je rappelle ici, il est important, avec la prise de l’ail en grande quantité, de valider avec un professionnel de la santé pour valider les interactions avec, oui, des médicaments, mais aussi avec votre état de santé.
Vicky Daoust, transformatrice bien-être